• SARAH'S KEY

     

    Elle s'appelait Sarah, de Tatiana de Rosnay

    Lu pour avoir vu le film à la télévision, et regardé celui-ci à cause de Kristin Scott-Thomas.

    Première observation: le changement du titre, comme si La clé de Sarah n'était pas un beau titre à double sens; je n'y vois qu'un cause: la recherche du mélo qui attire la foule, cet imparfait, ce prénom annonçant évidemment un drame.

    Première impression sur le style: il est mou - c'est l'adjectif qui me vient! C'est-à-dire qu'il n'existe pas. C'est écrit comme une sitcom, simple, plat, redondant.

    Évidemment l'histoire est des plus émouvantes, et l'intention pédagogique des plus louables.

    Mais on en revient toujours à ce constat: les bons sentiments ne font pas la littérature.

    Et, à mon avis, les histoires de cœur de Julia sont ici de trop.

     

     


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