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    ÉPITAPHE

     

    Mes os dorment sous cette pierre,

    Mais moi qui sait ?

    J’habite la lumière

    Ou le vent

    Ou l’ombre étroite du cyprès ;

    Ne serais-je que la poussière

    Sous vos pas,

    Qu’importe, si vous n’oubliez pas ?

    Je fus la main que vous teniez,

    L’oreille ouverte à votre voix,

    Et j’ai pu croire tant de fois

    Que vous m’aimiez!

      

     

     

    À LA UNE

     

     

     

     

                                         

     

     

     

     

     

     

                           

     

     

     


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