• À PROPOS DES "BÉRÉNICE"

     

    Le sonnet classique s'écrit plus fréquemment en alexandrins: ainsi "Bérénice (2)".

    Mais il est possible d'utiliser d'autres mètres, tel le décasyllabe de "Bérénice (1)".

    Toutefois ce dernier sonnet - en fait le premier que j'ai écrit - heurtera les puristes pour plusieurs raisons: les rimes des quatrains sont croisées (ou alternées) et non embrassées, et le contre-rejet de "quel" dans le dernier tercet est inimaginable pour un classique; je crois qu'il faut attendre Verlaine pour trouver ce genre de hardiesse (même le fameux "... escalier / Dérobé..." de Victor Hugo reste en retrait).  On pourrait tout de même soutenir que la douleur de Bérénice lui fournit une justification.


    Tags Tags : ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :