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L'échange des princesses, de Chantal Thomas
Pourquoi appeler roman ce qui n'est guère qu'une reconstitution historique? Et pourquoi étirer sur 300 pages ce qui tiendrait sur moitié moins?
Évidemment le sujet est attirant - et c'est bien pourquoi j'ai lu -, mais le plus intéressant du récit étant constitué par les documents, extraits de lettres ou anecdotes qui s'y trouvent inclus, le reste paraît plus d'une fois répétitif et bavard, sans que le style soit en cause, néanmoins.
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